Matières premières sans coulures

faibles émissions de suie et de fumée

certifiées de qualité

Tout ce qu’il faut savoir sur les bougies de A à Z.

  • Bain de cire : le bain de cire doit toujours être propre : retirez les morceaux d’allumettes, de mèche et autres impuretés, car cela empêche une combustion uniforme.
  • Bord de la bougie : ne pas endommager le bord de la bougie, car cela entraînerait une fuite de la cire liquide. Si le bord de la bougie est trop haut, il peut être coupé avec précaution à l’aide d’un couteau tant qu’il est chaud.
  • Bougeoir : les bougies doivent être fixées (sur des chandeliers ou dans des coupelles) de manière à ce qu’elles ne puissent pas tomber lorsqu’elles sont allumées. Le bougeoir doit être résistant à la chaleur et ininflammable. Si la bougie ne tient pas correctement, laisser quelques gouttes de cire s’écouler dans le bougeoir et placer la bougie immédiatement par-dessus : elle va se fixer au fur et à mesure que la cire refroidit.
  • Bougie de fête : une bougie personnalisée et individualisée fait un beau cadeau pour la fête de quelqu’un.
  • Bougies à la citronnelle : Les bougies à la citronnelle ont non seulement un parfum frais et agréable, mais elles éloignent aussi les moucherons et les moustiques. Elles sont donc le compagnon idéal de belles soirées d’été sans se faire déranger par les moustiques.
  • Bougies auto-extinguibles : les bougies diffusent une belle lumière et créent une ambiance agréable. Mais les bougies allumées ne réchauffent pas que les yeux : une bougie laissée sans surveillance peut être source d’incendie. Les bougies auto-extinguibles portant le label de qualité RAL sont donc idéales pour les décorations (de Noël), parce qu’une technologie brevetée spéciale empêche la cire chaude de s’échapper et de s’enflammer. En outre, la flamme s’éteint automatiquement, réduisant considérablement le risque d’incendie.
  • Bougies chauffe-plat : les bougies chauffe-plat ont probablement été inventées pour conserver la chaleur du thé et d’autres boissons. Vraisemblablement, c’est l’enveloppe qui a vu le jour en premier, et il a ensuite été rempli de paraffine. La technique de moulage n’est apparue que dans les années 1960. Aujourd’hui, les bougies chauffe-plat ont un diamètre d’environ 38 mm et sont utilisées aussi à des fins décoratives dans des contextes très variés. Il faut toujours placer les bougies chauffe-plat sur une surface non combustible et elles ne doivent pas être disposées trop près les unes des autres. Il est important que la mèche ne produise qu’une petite flamme pour limiter tout risque. La qualité et la sécurité sont étroitement liées. Il est important que la mèche soit de haute qualité pour qu’elle ne casse pas et qu’elle brûle en toute sécurité pendant longtemps. Le label de qualité RAL est le gage que ces critères sont respectés sur les bougies chauffe-plat. Une bougie chauffe-plat certifiée brûle pendant environ quatre heures.
  • Bougies parfumées : les bougies parfumées offrent une merveilleuse combinaison entre éclairage à la bougie et note de parfum correspondante pour créer une ambiance. Des fragrances éthérées et naturelles sont utilisées pour fabriquer les parfums de bougie. La gamme de parfums des bougies RAL portant le label de qualité RAL est très vaste.
  • Bougies peintes : à des fins décoratives, la surface des bougies peut être recouverte de peinture. Toutes les bougies peintes portant le label de qualité RAL ont apporté la preuve qu’elle ne contiennent pas de matières premières polluantes et qu’elles ne posent donc aucun risque pour la santé.
  • Bougies personnalisées : pour toutes les occasions, qu’il s’agisse de bougies de mariage, de bougies d’anniversaire ou de bougies de baptême, des bougies adaptées sont proposées par des fabricants membres de l’Association de qualité des bougies.
  • Bougies piliers : les bougies piliers ont une large base synonyme de sécurité, et peuvent être utilisées de différentes façons, car elles sont proposées dans de nombreuses tailles et couleurs différentes.
  • Chaleur : une flamme de bougie peut atteindre les 1 400 °C environ. Ne pas exposer les bougies à la lumière directe du soleil et ne pas les exposer à des sources de chaleur (par exemple, des radiateurs) car elles se déformeraient.
  • Chandelles : les chandelles sont du meilleur effet sur les tables à manger, fixées sur un chandelier.
  • Cierges d’autel : les cierges d’autel sont utilisés depuis longtemps et pas seulement à des fins liturgiques. En effet, Ils enrichissent également toute décoration intérieure (bougies de cheminée), ou peuvent également être employés comme lumières décoratives dans le jardin.
  • Cire d’abeille : la cire d’abeille est un métabolite de l’abeille mellifère. Elle est produite dans les glandes cirières de l’abeille et est utilisée dans la construction des alvéoles à miel. La cire d’abeille est utilisée pour produire des bougies écologiques, sûres et agréablement parfumées, ou encore des bougies en nid d’abeille, qui sont appréciées des amateurs. La cire d’abeille est une matière première rare et donc plus chère que les autres cires employées pour la confection de bougies.
  • Citronnelle : voir bougies à la citronnelle.
  • Colorants azoïques : les colorants azoïques, qui produisent des couleurs particulièrement stables, résistantes à la lumière et intenses, constituent le plus grand groupe de colorants, avec un champ d’application très vaste. Les colorants azoïques en tant que tels ne sont généralement pas dangereux pour la santé. Cependant, certains peuvent être métabolisés par le corps humain et produire alors leurs constituants de base, les amines aromatiques. Certaines de ces amines sont nocives pour la santé.
  • Combustion sur un côté : si une bougie brûle sur un côté, courber la mèche avec précaution dans l’autre sens pour compenser la différence de combustion ou vérifier que la bougie est de niveau. Ne jamais plier une mèche durcie et ne la casser en aucun cas, car cela rend le rallumage difficile.
  • Couleurs : les bougies de couleur sont fabriquées en cire colorée, avec une sélection de couleurs basée sur les tendances saisonnières du moment.
  • Courants d’air : éviter les courants d’air, car les bougies brûlent trop rapidement, coulent ou dégagent de la fumée noire.
  • Distance d’éloignement : lorsque vous placez plusieurs bougies l’une à côté de l’autre, assurez-vous qu’il y a suffisamment d’espace (au moins 10 cm) entre les différentes bougies. Si la distance est trop petite, une chaleur excessive se développe : les bougies se déforment et brûlent plus rapidement ou de manière inégale et commencent à goutter.
  • Émission de suie : une bougie qui brûle ne doit libérer qu’une faible quantité de suie. Si l’émission de suie devient clairement visible, il faut intervenir : stopper les courants d’air, raccourcir la mèche. Au besoin, éteindre la flamme.
  • Extinction de la flamme : si on trempe la mèche dans la cire liquide pour l’éteindre, puis qu’on la redresse, elle ne fume pas et la bougie sera plus facile à rallumer la prochaine fois. Elle se cassera aussi moins facilement.
  • Flamme : une flamme de bougie est une flamme nue qui peut atteindre les 1 400 °C. Bien qu’elles créent une ambiance romantique et feutrée, elles ne doivent jamais être laissées sans surveillance : ne jamais laisser les bougies brûler sans surveillance !
  • Gütegemeinschaft Kerzen e.V. : l’association des fabricants allemands de bougies, Verband deutscher Kerzenhersteller e.V., a lancé le label de qualité bougies RAL, en créant par la même occasion l’association de la qualité, avec comme objectif d’offrir au consommateur un label de qualité visible. Le label de qualité RAL figurant sur les bougies est la garantie qu’elles ont été testées. En son absence, on ne sait pas ce qu’on achète.
  • Label de qualité bougies RAL : permet au consommateur de reconnaître les bougies de haute qualité parmi le large éventail de produits disponibles. Le label de qualité RAL est décerné exclusivement à des produits qui attestent leur compatibilité environnementale et sanitaire et qui démontrent une valeur pratique élevée et fiable dans le cadre de tests réguliers contrôlés effectués de façon impartiale par l’Association allemande d’inspection des véhicules automobiles (DEKRA).
  • Longueur de la mèche : la longueur de mèche idéale est d’environ 10 à 15 mm. Une mèche plus longue a tendance à produire de la fumée noire. La mèche (faite en 100 % coton) doit être raccourcie soigneusement avec des ciseaux, par exemple des ciseaux à mèche spéciaux. Si la flamme semble sur le point de s’éteindre, c’est que la mèche est trop courte. Dans ce cas, éteindre la flamme et retirer avec précaution un peu de la cire liquide. Couper ensuite le bord de la bougie qui est trop haut, puis rallumer la bougie. L’épaisseur de la mèche est adaptée au processus de fabrication ainsi qu’à l’épaisseur de la bougie.
  • Messes : on a l’habitude de voir des cierges sur les autels au cours des messes, tout au long du calendrier liturgique chrétien : les quatre cierges de la couronne de l’Avent, les cierges de la Chandeleur, les cierges de Pâques ou encore les cierges de la Première communion. Les cierges allumés devant les représentations de Marie ou les icônes sont un signe de prière et de recueillement.
  • Noël : Noël sans bougies serait comme Pâques sans œufs ! En ce qui concerne les bougies de sapin de Noël en particulier, exigez le label de qualité RAL, car les bougies de ce label brûlent en produisant peu de fumée et de suie.
  • Onagre du soir : fleurs appartenant à la famille des Onagraceae (onagracées), dont les fleurs ne s’ouvrent que la nuit.
  • Origine : l’origine des « bougies » remonte à environ 3 000 ans : à cette époque, elles étaient composées de paille, de chanvre, de roseau ou d’autres matériaux similaires, qui étaient imbibés de résine ou de suif. En conséquence, elles dégageaient une odeur quelque peu « animale ».
  • Paraffine : la paraffine est la matière première des bougies : elle est de texture cireuse, inodore et non toxique. Elle est insoluble dans l’eau, mais légèrement soluble dans l’essence. Aujourd’hui, la paraffine est principalement produite à partir de combustibles fossiles. Le principal consommateur de paraffine est l’industrie des bougies.
  • Première bougie : la plus ancienne bougie de cire encore conservée aujourd’hui date du 1er siècle après J.-C. et se trouve dans la ville de Vaison-la-Romaine, en Provence.
  • Procédé de moulage : dans ce procédé de fabrication, de la cire liquide est versée dans des moules et une mèche est tendue au milieu ; c’est un procédé particulièrement adapté aux bougies colorées sur toute leur épaisseur.
  • Procédé de pressage : la production de bougies selon un procédé de pressage a considérablement augmenté au cours des dernières décennies et constitue une méthode de production largement utilisée dans la fabrication de bougies grand public. Une distinction est faite entre la presse à emboutir et la presse à extrusion. On utilise de la paraffine en poudre pour les deux procédures.
  • RAL : RAL est l’un des plus anciens professionnels de l’étiquetage au monde. Les consommateurs, les entreprises, l’industrie et le commerce s’appuient sur RAL depuis plus de 90 ans.
  • Sceau de qualité : la marque « Label de qualité bougies RAL » (label de qualité bougies RAL) garantit une qualité testée. Le label de qualité RAL est décerné exclusivement à des produits qui attestent leur compatibilité environnementale et sanitaire et qui démontrent une valeur pratique élevée et fiable dans le cadre de tests contrôlés effectués de façon impartiale par l’Association allemande d’inspection des véhicules automobiles (DEKRA). Cela fait du « label de qualité bougies RAL » un critère décisif pour les clients qui privilégient la qualité plutôt que le prix le plus bas.
  • Sécurité : les bougies sont des flammes nues qui ne doivent jamais brûler sans surveillance.
  • Stéarine : la stéarine est une matière première renouvelable, d’origine végétale ou animale. Les bougies en stéarine offrent une très bonne stabilité de température.
  • Taches de cire : en règle générale, les taches de cire peuvent facilement être retirées ou « écaillées ». Si ce n’est pas possible, retirer les taches sur les tissus en plaçant du papier absorbant (par exemple du papier buvard) sur la cire froide et en appliquant un fer à repasser chaud sur le papier. Ainsi, la cire se retrouve absorbée par le papier. Si la cire a figé sur des surfaces lisses, on peut utiliser un sèche-cheveux pour la liquéfier, puis essuyer le liquide avec du papier.
  • Temps de combustion : il faut toujours laisser les bougies brûler jusqu’à ce que la coupelle de combustion soit complètement liquéfiée. Sinon, il y a production d’un creux au centre et de suie, et la flamme s’étiole. Une bougie normale brûle entre 7 et 10 grammes de cire par heure.
  • Tirage : la fabrication par tirage est l’une des plus anciennes méthodes de fabrication de bougies. Par le passé, les bougies n’étaient fabriquées qu’à la main ; aujourd’hui, cependant, les bougies sont produites avec des machines dans la plupart des cas. Une machine est utilisée pour tendre une longue mèche (plusieurs centaines de mètres) en travers d’un bain de cire jusqu’à ce que l’épaisseur souhaitée soit atteinte.
  • Verband Deutscher Kerzenhersteller (Association des fabricants allemands de bougies) : avec 40 entreprises membres, l’Association des fabricants allemands de bougies couvre plus de 95 % de la production allemande.
  • Ne vous laissez pas duper : achetez des bougies portant le label de qualité RAL !
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